Les sacs en plastique font partie des symboles de la société de consommation. Ils sont partout et commencent à peine à être remis en cause. Pourtant, fabriqués à base de pétrole, utilisés en moyenne une vingtaine de minutes avant d'être jetés, puis mettant des centaines d'années avant de "disparaître", ils sont la plaie du quotidien, corollaires des achats fréquents.
La production des sacs en plastique est tout un business qui englouti et détourne des ressources fossiles. Deux infos que l'on retrouve notamment sur le site de la campagne canadienne "Mon sac je le réutilise":
La production des sacs en plastique est tout un business qui englouti et détourne des ressources fossiles. Deux infos que l'on retrouve notamment sur le site de la campagne canadienne "Mon sac je le réutilise":
- 12 millions de barils de pétrole sont nécessaires pour fabriquer 100 milliards de sacs de plastique;
- 8.7 sacs de plastique contiennent assez d’énergie fossile pour faire rouler une voiture pendant 1 km.
- confondus par les tortues avec leur nourriture habituelle, les sacs plastiques les empoisonnent car elles tentent de les manger pour mieux s'étouffer;
- ils ont notamment causé de graves inondations au Bengladesh en bloquant les systèmes de drainage de la capitale.
Halte aux sacs plastiques
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Alors que faire? Les alternatives ne manquent pas. La première est de ne plus rien acheter... mais ce degré zéro est évidemment impossible.
Les autres options comprennent celle qui fait son apparition dernièrement (en Belgique en tout cas) et qui commence doucement à se généraliser: avoir toujours un sac sur soi, notamment celui proposé par de plus en plus de commerçants, soit un sac résistant qui se plie en un tour de main pour se ranger dans un tout petit étui très discret, qui peut même s'accrocher au pantalon. C'est une variante parmi beaucoup d'autre sur le thème du sac réutilisable.
Certains commerçants proposent également des sacs en matière végétale, ce qui est déjà mieux que le sac en plastique mais ne sont pas la panacée non plus. Un petit tour d'horizon peut être lu dans le Rapport sur l'impact environemental de différents sacs de caisse, revue critique organisée par l'Ademe.
Enfin, pour les plus créatifs, Le Grand Ménage propose de s'inspirer de la tradition japonaise en se lançant dans la mode des sacs en tissu furoshiki.
Les idées ne manquent pas, comme souvent l'essentiel étant de prendre un peu de recul et de se laisser inventer des solutions...
Les autres options comprennent celle qui fait son apparition dernièrement (en Belgique en tout cas) et qui commence doucement à se généraliser: avoir toujours un sac sur soi, notamment celui proposé par de plus en plus de commerçants, soit un sac résistant qui se plie en un tour de main pour se ranger dans un tout petit étui très discret, qui peut même s'accrocher au pantalon. C'est une variante parmi beaucoup d'autre sur le thème du sac réutilisable.
Certains commerçants proposent également des sacs en matière végétale, ce qui est déjà mieux que le sac en plastique mais ne sont pas la panacée non plus. Un petit tour d'horizon peut être lu dans le Rapport sur l'impact environemental de différents sacs de caisse, revue critique organisée par l'Ademe.
Enfin, pour les plus créatifs, Le Grand Ménage propose de s'inspirer de la tradition japonaise en se lançant dans la mode des sacs en tissu furoshiki.
Les idées ne manquent pas, comme souvent l'essentiel étant de prendre un peu de recul et de se laisser inventer des solutions...
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