Introduction

Ex-consommatrice de pointe qui s'éveille aux joies de la simplicité volontaire et essaie de retrouver au quotidien un lien avec la nature et une douce décroissance, je partage principalement ici mes découvertes et repérages, des bouts de cheminement et mes lectures.

3 avril 2007

Les gestes simples: les escaliers

Parmi les petites révolutions mentionnées dans Comment le sport vient aux fainéant(e)s, un détail supplémentaire – loin d’être parfait à l’heure actuelle ou d’être purement lié à des considérations sportives. Les escaliers. Ce sont des engins assez incroyables, composés d’un nombre variable de marches, menant généralement d’un endroit à un autre situé plus haut ou plus bas. Nos ancêtres qui n’avaient pas l’électricité avaient inventé ce stratagème pour pallier au manque cruel d’ascenseurs et d’escalators – il fallait bien qu’ils trouvent quelque chose s’ils ne voulaient pas s’étendre constamment à l’horizontale.
Aujourd’hui, nous n’avons plus besoin de ces amisheries pour grimper ou descendre. N’empêche. Moi j’aime les escaliers, et j’essaie de le leur montrer le plus souvent possible. Il ne faut pas les attendre, ils ne tombent pas en panne, ils ne sont pas bondés, ils ne font pas de bruit, ils ne consomment pas grand chose,… et ils font les cuisses.
Au quotidien, malgré des préjugés faisant croire le contraire, ils représentent la liberté. Chacun son rythme, son espace, sa responsabilité. Révolutionnaire. Et parfait pour les claustrophobes de toutes variétés. Seulement voilà, c’est comme écrire à la main, on ne sait plus trop comment ça fonctionne. Un truc de base : commencer par les prendre à la descente... Et quand je les prendrai également à la montée, je n’hésiterai pas à vous le signaler!

1 commentaire:

Pif a dit…

Aujourd'hui, j'ai descendu 8 étages en ascenceur rapide et moderne et tout, d'une traite. Mes oreilles ont fait "bzzzzzzz".