The whole Woman
Quatrième de couverture:
Reviving the debate she launched with The Female Eunuch, in thirty-five self-contained 'chapterkins' of fiery rhetoric, authoritative insight, outrageous humour and broad-ranging enquiry, Germaine Greer once again sets the agenda for the future of feminism, arguing that in spite of a widespread feeling of complacency, the woman question is far from answered.
Malgré mes avancées "féministes", j'avoue que je n'avais jamais entendu parler de Germaine Greer jusqu'à ce que Witch Haya me recommande ce livre, à la suite d'une discussion sur Cunt de Inga Muscio (j'y reviendrai certainement, car c'est indispensable, tout simplement). Je suis ravie qu'elle l'ait mis sur ma route, et je me retrouve à lire au-delà du sommeil tant c'est intéressant. Rageur et parfois trop carré? indéniablement. Mais les sujets abordés sont justes, les angles adoptés m'apportent des éléments de choix et de possibilités de réponses, et viennent enfin (comme avec Cunt) des mots sur ce que je ressens sans toujours le comprendre.
Alors merci Germaine, et merci Haya.
Quatrième de couverture:
Reviving the debate she launched with The Female Eunuch, in thirty-five self-contained 'chapterkins' of fiery rhetoric, authoritative insight, outrageous humour and broad-ranging enquiry, Germaine Greer once again sets the agenda for the future of feminism, arguing that in spite of a widespread feeling of complacency, the woman question is far from answered.
Malgré mes avancées "féministes", j'avoue que je n'avais jamais entendu parler de Germaine Greer jusqu'à ce que Witch Haya me recommande ce livre, à la suite d'une discussion sur Cunt de Inga Muscio (j'y reviendrai certainement, car c'est indispensable, tout simplement). Je suis ravie qu'elle l'ait mis sur ma route, et je me retrouve à lire au-delà du sommeil tant c'est intéressant. Rageur et parfois trop carré? indéniablement. Mais les sujets abordés sont justes, les angles adoptés m'apportent des éléments de choix et de possibilités de réponses, et viennent enfin (comme avec Cunt) des mots sur ce que je ressens sans toujours le comprendre.
Alors merci Germaine, et merci Haya.
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